Promenons-nous dans les bois
Northland, Waipoua Forest. Folle sensation de se retrouver au milieu d’une forêt primaire. Au premier abord, elle apparaît massive. On approche : d’infinis détails se dessinent. La richesse et la variété des espèces construisent une densité pleine de délicatesse formée de complexes enchevêtrements végétaux.
Le silence est presque sourd. Seul des chants surréalistes d’oiseaux non identifiés – à quand un Shazam pour ça ? – viennent chatouiller nos oreilles. Chaque pas dans ce décor hallucinant ajoute un peu plus de papillons dans le ventre.
A l’intérieur, nous prenons conscience de la hauteur. On se sent tout petit, tellement petit au milieu de ces arbres géants, là depuis si longtemps et qui nous survivrons. Alors l’imagination s’emballe un peu et on se plaît à imaginer un diplodocus sortir la tête de derrière des fougères géantes. Bienvenue dans Jurassic World !…