We love Moorea
Une semaine à Moorea aura suffit pour nous faire tous succomber aux charmes de cette île. Si, avant de découvrir cet endroit, j’avais eu à décrire le jardin d’Eden, j’aurais raconté Moorea les yeux fermés…
fabrique artisanale de bien jolis souvenirs
Une semaine à Moorea aura suffit pour nous faire tous succomber aux charmes de cette île. Si, avant de découvrir cet endroit, j’avais eu à décrire le jardin d’Eden, j’aurais raconté Moorea les yeux fermés…
A droite un ciel bleu ensoleillé, à gauche une pluie tropicale et au milieu, la magie d’arcs-en-ciel qui jaillissent quand le soleil rencontre les gouttes. #MagicMoorea
Cette journée débute bien sous la douceur ensorcelante de Moorea : un soleil radieux et une chaleur implacable nous pousse à nous rendre vite à la plage pour aller nous rafraîchir. « Un kayak tri-places et un paddle s’il-vous-plaît ! » Nous voici embarqués tous les quatre pour une ballade sur le lagon Tiahura…
Je me concentre… Acheter ce vignoble que l’on ma proposé en Nouvelle-Zélande ? Faire de l’huile d’olive à Waiheke Island ? Devenir créatrice de bijoux en coquillages ? Ou encore faire des confitures à Moorea ? Et il y a aussi gagner au loto… Note pour plus tard : penser à jouer !
Si je ne sais pas ce que je vais faire après, j’ai cependant une certitude : je voudrais qu’aujourd’hui ne s’arrête jamais.
Ben moi j’aimerais rester ici toute ma vie car il fait chaud. Papa je garde la voiture ! »
Edgar, à Moorea depuis deux jours…
‘Ia ora na ! Nous voici à Papeete. Quelle divine sensation d’un pays qui parle aux sens. Quand nous arrivons il fait déjà nuit. Si nous ne voyons rien des paysages, nous pouvons déjà le ressentir.
L’odeur de la chaleur humide inimitable que nous aimons par dessus tout. Le parfum envoûtant des colliers de fleurs qui embaument tout le hall de l’aéroport de Faa’a.
Et puis les chants polynésiens. Puissants ils résonnent immédiatement en émotion. C’est un retour en enfance instantané avec ces airs mélodieux qui coulent, roucoulent et tellement entendus ! Je ne peux retenir quelques larmes ; ça commence fort… Ces messieurs sont aussi soufflés.
Troublés, nous filons tous vite dormir pressés de découvrir Moorea demain matin !
Avec une sublime photo d’Adolphe Sylvain ;
Fin de la deuxième étape en Océanie. Sous ses faux-airs de France, la Nouvelle Calédonie est pourtant réellement différente.
Le must ici selon nous ? Nos amis qui vivent ici depuis 7 ans et Kunie, l’île des Pins.
Rétro en image de nos meilleurs moments au pays des Kanaks…
Il est beaucoup trop tôt et il fait encore frais quand nous embarquons à bord de la pirogue. Mais peu importe, commençons à glisser dans la baie d’Upi. Le soleil nous rejoint et vient nous réchauffer…
Allongée sur un paréo débarrassé de tout grain de sable. Le vent est chaud, le soleil doux. La vue du bleu du ciel, des palmiers et de leur ombre portée se trouble.
Mes paupières clignotent. De plus en plus, pour finir par rester closes, quand :
– Le Prince : Maman ? – Madame : Mmmmmm…
– Le Prince : Mamaaaan ? – Madame : MmmmmmRrrrr ?!
– Le Prince : T’as vu ? – Madame : Oh oui, c’est super mon ange !
– Le Prince : Ben non, tu ne peux pas voir, tu as les yeux fermés ! Regarde. Mais regardeuhhh ! Bon ben je viens alors !
J’ouvre un œil. Et voilà il me fait encore le coup du sourire qui fait chavirer.
Edgar en mode « reverse mentoring » : comment j’apprends à ma Maman à devenir experte en micro-sieste… #petitescontrariétésquelonaime
Baie de Kuto 9h : petit déjeuner face à la mer de Corail. La plage, toujours aussi extraordinaire, est totalement déserte. Notre bateau est prêt, il nous attend pour nous emmener découvrir les environs de l’île des Pins. Moro, Brosse, Bayonnaise, Aventure, … les îlots défilent, ponctuations vertes et blanches au milieu de toutes ces nuances de bleu.
Nous naviguons vers le Sud. Soudain apparaît du blanc, un blanc irréel tellement il éclate. Nokanhui est posé là : c’est beau à pleurer…