fabrique artisanale de bien jolis souvenirs
La loi de Hofstadter ne s’applique pas qu’en entreprise. Sans hésiter, j’ajoute à son champ d’application le transport en auto en Nouvelle-Zélande. Systématiquement, cela prend plus de temps que ce qu’annonce le GPS. Le trafic n’est pas en cause : nous pouvons faire des kilomètres et rencontrer davantage de moutons, poules d’eau et autres faisans que de voitures…
Après quatre mois sans McDo, la perspective d’un déjeuner avec Ronald, c’était déjà la fête. Quand en plus, ils découvrent qu’il est possible de manger les sandouiches et les frites dans un avion, alors là, c’est l’extase !
Taupo, un des McDo les plus cools du monde.
Après l’acquisition d’un bon parfum d’intérieur, nous sommes parvenus à dormir dans la chambre d’hôtel sans avoir l’impression d’être embarqués dans un TGV en pleine épidémie de gastro-entérite… C’est donc très en forme que nous partons ce matin visiter Wai-o-Tapu, les « eaux sacrées » en Maori, la plus grande zone d’activité thermale de toute la région de Taupo. Nous n’accèderons qu’à une petite partie des 18 km2 du parc géothermique, mais les fumerolles que nous apercevons à l’approche du site nous promettent une ballade riche en découverte…
Une humeur du jour… pestilentielle ! Nous venons d’arriver à Rotorua, dans la région de « Bay of Plenty ». Si la ville est connue pour son activité géothermique exceptionnelle, nous découvrons aussi l’exceptionnelle odeur de souffre qui emplit voire sature l’air par endroit. Fraîchement débarqués, une seule question s’impose à nous : peut on s’habituer à cela ? Ce serait bien car nous devons y rester 3 jours…
Sous un soleil automnal splendide poursuivons la découverte de Coromandel. Au-delà de la « Hot Water Beach », toute la péninsule recèle mille paysages magnifiques. Que de « c’estbeau-c’estbeau-c’estbeau-c’estbeau-c’estbeau-c’estbeau !!! » encore frénétiquement répétés aujourd’hui ! Je peux aller jusqu’à 50 selon la beauté des paysages…
Il est à peine 9h, l’air est encore frais pour nous. Équipés de pelles, nous nous dirigeons à belles enjambées vers la plage. Nous sommes un peu en retard et craignons qu’il y ait déjà trop de monde. Heureusement, le chemin qui nous mène à la mer est tellement paisible que nous nous détendons immédiatement.
Soudain, l’immense océan est là, la plage est interminable. Au loin, nous apercevons des personnes affairées à creuser le sable. La fumée qui se dégage du sol confirme que nous sommes au bon endroit. Voici la « Hot Water Beach »…
Nous avions pourtant proposé un prix très attractif pour ce joli lot… Le souci fût la promesse produit. Sous des airs d’enfants sages, ils faisaient juste n’im-por-te-quoi dès qu’un acheteur potentiel approchait ! Personne ne s’est montré acquéreur finalement… Demain, je tente avec Monsieur, pour voir !
